Franco Guerra Flores
L'Oie.
Il(Elle) vient comme orage,
dans lui un abîme des bois,
en résonnant comme trompette dans un désespoir,
en frappant il(elle) se sent, destrtuyéndoles avec trahison.
Dans la terre ses marchées sont entendues,
qui(lequel) les sourdes d'un colosse,
qui convoite la liberté,
en criant olvidos et tu souffres
dans sa marche destructive.
Il commence à faire sombre déjà, à la hâte(en foule) d'un miel,
en se brûlant comme les arbres
en les adieux du soleil,
qui déjà sans respiration
laisse son emblème obscur
en silence.
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Published on e-Stories.org on 08.10.2007.